Joseph-Ignace Guillotin — Wikipédia
Une légende veut que Guillotin aurait lui-même été exécuté par « sa » machine et elle s'explique par une coïncidence : un médecin lyonnais, J. M. V. Guillotin (sans lien de parenté avec lui), est exécuté par la guillotine.
Joseph-Ignace GUILLOTIN (1738-1814) - Medarus
Biographie Joseph-Ignace Guillotin, médecin, humaniste et homme politique français, on lui attribue à tort la machine à décapiter, qui porte malencontreusement le nom de Guillotine.
Biographie de JOSEPH IGNACE GUILLOTIN (1738-1814)
La première exécution fut celle d'un voleur de grand chemin le 25 avril 1792. Le journal royaliste, Les Actes des apôtres, avait composé une chanson sur « la guillotine, machine inimitable du docteur Guillotin, propre à couper les têtes ». Le nom lui resta.
La guillotine, l'arme de la Révolution - Histoire pour Tous
Elle doit son surnom au docteur Guillotin, membre de l'assemblée Constituante, qui proposa en 1789 de remplacer par la décapitation les supplices alors en vigueur pour les condamnés à mort. Il préconisa l'utilisation d'une machine dont le concept avait été imaginé quelques années auparavent.
Chapitre La guillotine ou la « mort douce » | Criminocorpus
Le projet est très proche de l'idée de Guillotin et daté de l'époque où l'on prend la décision de réaliser la guillotine. Il est très technique et comporte les éléments essentiels de ce qui sera le nouvel instrument du châtiment suprême.
Les grands hommes à l'origine de ces noms communs : Joseph Guillotin
Jugeant toutes ces méthodes barbares et inhumaines, le docteur Joseph Guillotin en préconise une nouvelle lors d’un discours devant l’Assemblée constituante, le 10 octobre 1789 : la décapitation mécanique.
Joseph Ignace Guillotin - La guillotine | BNF ESSENTIELS
Joseph Ignace Guillotin (1738-1814), médecin et député constitutionnel, a collaboré au texte de la Déclaration des droits de l’homme. Il présente, le 10 octobre 1789, son discours pour la peine de mort par décapitation devant l’Assemblée nationale.
LA GUILLOTINE.
Le 28 novembre 1789, le docteur Joseph Guillotin présente aux députés de l'Assemblée constituante une machine destinée à la décapitation des condamnés et conçue par le chirurgien Antoine Louis, secrétaire perpétuel de l'Académie de chirurgie.